La situation décrite est relativement banale : un jeune mineur accueilli dans un foyer qui exerce une mission d’action éducative sur décision judiciaire frappe violemment un éducateur. Ce dernier a porté plainte, mais la gendarmerie refuse d’enregistrer la plainte du directeur au motif que l’institution n’est pas la victime. Du coup, les salariés s’interrogent sur l’absence de soutien et d’accompagnement du salarié de la part de l’institution. Quels repères, demande notre interlocuteur, pourriez-vous nous donner pour clarifier les décisions institutionnelles possibles ?Dans un second temps, le Comité explore les pistes juridiques et institutionnelles, puis, prenant en compte la dimension déontologique, il propose quelques balises permettant au demandeur de se positionner, tant en direction du jeune lui-même, qu’en direction du professionnel, de l’équipe et de l’institution.
Violences à l’égard du personnel éducatif et dépôt de plainte : quels repères pour décider ?
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Question : 041
Violences à l’égard du personnel éducatif et dépôt de plainte : quels repères pour décider ?