Publié le :

9 Juin
2008

Question

024

Conseillère ESF travaillant dans un OPAC : qui est garant d’une « bonne pratique » lors des interventions auprès des personnes en difficultés ?

Une Conseillère en économie sociale et familiale travaille dans un OPAC qui devient, selon un nouveau statut, un Office public de l’habitat du département (OPHD). En sa qualité de travailleur social, cette professionnelle est en lien avec le Conseil général (Gestion du Fonds de solidarité logement, validation des mesures ASLL après évaluation). Ses interventions concernent les personnes en difficultés sociales liées au logement dans le cadre de la loi Besson et de la lutte contre les exclusions (loi de 1998).

En l’absence d’un projet d’établissement ou de service, comment orienter son action dans ces situations délicates ? Certes, la loi 2002.2 ne s’applique qu’aux établissements et services sociaux et médico-sociaux. Pour autant, les professionnels peuvent-ils agir auprès de ces personnes sans pouvoir se référer à un écrit ? Mais qui peut en demander l’élaboration et qui en sera garant ?

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Question : 024

Conseillère ESF travaillant dans un OPAC : qui est garant d’une « bonne pratique » lors des interventions auprès des personnes en difficultés ?